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Les questions à propos du rachat de crédit

Le rachat de crédit n’évoque pas grand chose pour une bonne partie de la population, c’est pourquoi les ménages veulent acquérir des informations relatives à la restructuration financière de crédits.

Focus à propos du rachat de crédit

Pour exemple : qui peut être intéressé par le rachat de prêts ? Un rachat de crédit s’adresse aujourd’hui à toutes les catégories socioprofessionnelles, (les individus exerçant en profession libérale, mais aussi les artisans ou les commerçants, et bien entendu les salariés et les retraités, etc). Le regroupement de prêts est une solution bancaire de refinancement à la portée de tous. Que le client soit propriétaire ou locataire, il peut bénéficier d’un prêt de restructuration de créances.

Cependant, il y a seulement une condition à respecter, c’est le fait être inscrit au fichier des incidents de la Banque de  France pour chèque ou carte bleue. En général, il s’agit d’un motif qui entraîne un refus automatique de la demande de rachat du/des demandeur(s) des organismes. Dès lors que le profil de/des (l’)emprunteur(s) fait l’objet d’une inscription au fichier des incidents de remboursements des crédits aux particuliers (FICP), le projet de consolidation de dettes et créances peut-être étudié si le critère d’être propriétaire d’au moins un bien immobilier est validé. Tout simplement parce que la banque exige une garantie hypothécaire à hauteur du montant financé.

Il n’est pas obligatoire pour le(s) client(s) de changer de banque afin de pouvoir recourir à une restructuration de crédits. La mise en place de l’opération de restructuration est prise en charge par une société dite intermédiaire, il s’agit du courtier IOBSP. Un professionnel qui s’occupe de toutes les démarches administratives et commerciales liées aux différents organismes bancaires (société de crédit). Toutes ces démarches s’effectuent en générale dans le plus grand respect de la confidentialité.

Il est possible d’effectuer une seconde demande de refinancement pour toute personne ayant déjà sollicité une restructuration. On parle alors de rachat de rachat. On parle alors de deuxième génération de rachat, et cela peut aller jusqu’à trois générations. Dans ce cas, il est important que le client n’ait pas eu d’incidents de paiement lors de ce premier rachat de crédits. Autre condition, il doit respecter au minimum un délai d’une année entre deux demandes de rachat de crédit ou d’un refinancement.

Une opération de regroupement de crédits ou de refinancement est très proche d’un accord de crédit. L’organisme bancaire en charge de l’instruction du dossier client(s) doit étudier trois points très importants : la garantie, le risque ainsi que la marge bénéficiaire qu’elle dégage. En ce qui concerne la durée restante de prélèvement d’un crédit, d’un emprunt ou bien d’un prêt en cours de remboursement, cette durée d’amortissement doit être supérieure à la durée écoulée, ceci afin de couvrir les frais liés au rachat.

Comment un courtier en rachat de crédit est-il rémunéré ?

Un courtier en rachat de crédit est d’abord rémunéré par l’organisme financier signataire du nouveau contrat de restructuration financière. Celui-ci va en effet lui reverser un pourcentage, fixe et déterminé à l’avance, du montant du contrat de regroupement de crédits signé. Par ailleurs, le courtier en regroupement de prêts peut facturer des frais de dossiers à ses clients, mais uniquement dans l’hypothèse où le nouveau contrat de consolidation a été accepté par son/ses client(s).

Ces frais de dossiers sont intégrés au nouveau contrat de crédit et financés par l’organisme financier repreneur. Ce n’est pas une charge qui viendrait alourdir la trésorerie du demandeur. Si le dossier de regroupement de crédits n’aboutit pas, le courtier en rachat de crédit ne pourra pas, de toute manière, prétendre à une quelconque rémunération, même si ses services ont effectivement été engagés, ainsi que des frais avancés.

Cette caractéristique propre à l’étude des dossiers de consolidation de crédits permet de préserver la liberté du contractant, qui jusqu’au dernier moment de l’instruction est libre d’accepter et de signer la proposition d’offre de restructuration, ou de ne pas l’accepté en refusant de signer le contrat de rachat de prêts.

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