Mieux connaître les différentes facettes de la fiscalité des revenus pour le particulier, c’est le sens qu’essaie d’apporter cet article à travers les lignes de ses paragraphes ci-dessous à propos des revenus à déclarer, ou encore pour ce qui concerne les revenus qui sont exonérés, mais aussi quand au choix entre déduire les frais réels ou pas ?
Egalement, un rappel sur ce que la consolidation de crédits peut amener en plus dans la bonne gestion du budget en terme de pouvoir d’achat ?
Quels sont les revenus à déclarer ?
Les revenus à déclarer commencent par les salaires, c’est à dire les sommes d’argent versées aux salariés. On comptabilise ainsi les traitements des fonctionnaires, ainsi que le solde (pension) des militaires sur la base des rémunérations nettes après déduction des cotisations obligatoires.
Ensuite sont également imposables les avantages en nature (que l’on retrouve inscrit en principe sur le bulletin de salaire de décembre) et les sommes versées au titre d’un système d’épargne salariale lorsqu’elles ne sont pas réinvesties dans un Plan Epargne Entreprise (PEE).
Sont enfin imposables les indemnités journalières versées par la Sécurité Sociale et par les organismes de prévoyance sauf de maladie professionnelles, les allocations de chômage et de préretraite, les indemnités compensatrices de congés payés et de préavis, ainsi que certaines indemnités de licenciement.
Les revenus exonérés
Les indemnités temporaires versées à compter du 1er janvier 2010 aux victimes d’accident du travail sont exonérées pour 50% seulement de leur montant.
Ne sont pas imposables les allocations familiales et certaines allocations, les salaires des apprentis dans la limite du SMIC annuel et les revenus des étudiants âgés de moins de 25 ans au 1er janvier dans la limite annuelle de 3 fois le SMIC mensuel si les revenus sont obtenus en contrepartie d’une activité exercée pendant les études ou pendant les vacances scolaires ou universitaires.
L’option pour les frais réels
Une règle qui s’applique pour les salaires éligible à une déduction forfaitaire de 10% (dans une certaine limite) couvrant les frais courant.
Toutefois, si les frais engagés sont importants, il est possible d’opter pour les frais réels:
Il s’agit des frais de transport déterminés par la distance du trajet qui sépare le domicile au lieu de travail, et cela en principe dans la limite de 40 Km, mais aussi les frais de nourriture ou encore de double résidence, et ceux liés au coût du financement des études et de formation.
On peut y inclure les dépenses liés à l’achat de matériel et au fonctionnement de locaux professionnels. Dans ce cas, les indemnités pour frais versées par l’employeur sont à ajouter aux revenus imposables.
La consolidation de crédit pour plus de pouvoir d’achat
Malgré un taux d’imposition qui est en constante évolution et en tenant compte que les taxes vont toutes aussi augmenter sans exception, une solution peut permettre à un foyer de dégager plus de pouvoir d’achat mensuel !
Le prêt de rachat de crédits aussi appelé regroupement de prêt ou encore restructuration de créances, il est la solution qui permet à un foyer de repenser la gestion de son budget.
Donc si toutefois les impôts occupent une place beaucoup plus conséquente qu’auparavant, alors ce manque à gagner peut être pallié grâce à simulation de consolidation de crédit qui va réduire considérablement vos charges mensuelles d’emprunts.