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Rachat de crédit hypothécaire, comment ça marche ?

Dans le cadre d’un rachat de crédit, la plupart du temps, la banque prêteuse exige de l’emprunteur une garantie. Cette dernière peut être une hypothèque ou encore une caution selon le cas. La suite de cet article nous informera sur le déroulement d’un rachat de crédit hypothécaire.

Qu’est-ce qu’une hypothèque ?

Il a déjà été évoqué plus haut que la souscription d’un emprunt s’accompagne le plus souvent d’une garantie faite à la banque. Dans la majeure partie des cas, il est question d’hypothèque lorsqu’un candidat emprunteur souscrit à regroupement de prêt hypothécaire. En effet, comme ce type d’emprunt peut avoir une durée qui s’étale dans le temps plus longue qu’un rachat de crédit sans garantie, la banque exige du / des client(s) de mettre en place une inscription hypothécaire sur la valeur du bien immobilier.

Une garantie qui permet à l’organisme bancaire de se protéger contre les risques de non-remboursement qui pourraient survenir tout au long de la durée d’amortissement du financement. Donc, même si le débiteur se retrouve dans l’incapacité d’honorer ses dettes, l’établissement prêteur peut utiliser le bien hypothéqué pour récupérer ce qui lui revient en terme de capitaux restants dus. C’est là justement que le rachat de crédit devient une solution plus qu’intéressante pour les personnes détenteurs d’emprunts.

Le rachat de crédit hypothécaire et son fonctionnement (prise de garantie)

Avant qu’un particulier plonge la tête la première dans une opération de rachat de crédit hypothécaire, il faut qu’il sache que seuls les propriétaires peuvent y accéder.

En réalité, pour un crédit hypothécaire, le nouveau prêteur solde tous les emprunts du client contractés ultérieurement et les rassemble dans un seul contrat. Rappelons que pour le nouveau financement, les mensualités diminueront et que le nouveau délai de remboursement serait de 25 ans au maximum.

En général, regrouper des prêts immobiliers coûte plus cher que pour les crédits à la consommation en terme de montant financé. C’est la raison pour laquelle, le banquier exige qu’un bien immobilier appartenant à l’emprunteur serve de garantie.

Dans le futur, si l’emprunteur se retrouve sans emploi et qu’il ne peut pas payer ses mensualités, c’est à ce moment que le bien hypothéqué sera utilisé pour faire face d’insolvabilité. L’institution de crédit aura parfaitement le droit de mettre en vente ce dernier. Après cela, elle pourra récupérer de l’argent de la vente le montant restant à solder hors intérêts que le souscripteur devait encore rembourser.

Il est important de noter que pour mettre un bien en hypothèque, la présence d’un notaire est primordiale pour la rédaction de l’acte notarié permettant la prise de garantie hypothécaire. Donc, à la différence d’un rachat de prêt à la consommation, le rachat de prêt hypothécaire engendre des frais de notaire. Ces derniers tournent autour de 2 % du capital emprunté et sont pris en compte lors du montage du dossier pour le projet de rachat.

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